Miam, miam pour les whoopie pies. Ça a l'air de rien cette petite bibitte à sucre-là, mais quand elle nous tient, on succombe, c'est fatal. C'est à Boston au Quincy Market (Carol Ann's Bake Shop) que mon premier contact a été établi avec la bête en question. Elle se reposait lascivement dans un étalage de desserts tous plus décadents les uns que les autres. Et puis, comme ça, j'ai dit: «A whoopie pie, please». Ce fut la fin. La fin de mon monde serein. Car depuis, je rêve de Whoopie, comme je l'appelle familièrement.
Depuis cette rencontre, j'ai récidivé. Nos périples en sol bostonnais se sont multipliés (coïncidence?) et toujours, notre premier arrêt est traditionnellement face à une famille de whoopie pies -ou le stand à pizza à la Boston pour mon homme, mais on s'entend que mon arrêt est essentiel alors que le sien ne tient que de la gourmandise- (!). D'autres membres de ma famille ont également vécu l'expérience avec des résultats pas encore tout à fait concluants, pour l'instant. En fait, c'est après quelques contacts que la dépendance se manifeste. Et c'est pas joli, joli, oh non...
Il y a maintenant plus d'une semaine que je n'ai pas consommé (on en avait même rapporté des zétas pour tenir plus longtemps) et je tiens le coup. Par contre, ma dépendance est là, en latence, à l'intérieur de mon conscient, de mon subconscient et de mon estomac. La preuve...
À retenir: Les whoopie pies, malgré leur air innocent peuvent faire des dommages importants autant au niveau physique (voir mon tour de taille) que psychologique (pour ne pas traumatiser personne, je me retiens de vous faire part en détails de la psychose somnolente et des terreurs nocturnes qui me rongent). Whoopie pie quand tu nous tiens...
2 comments:
I have a great idea : Next time I come over for an Arts and Crafts night, Claude could prepare us a Whoopie Pie ! That would be so nice...but I am sure he had thought about that already. Whoopie, here I come...
What do you mean "a" Whoopie pie? :-)
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