Un peu avant Noël, Miranda a fait de jolies peintures. J'adore le fait que mes cocottes profitent du matériel qu'elles ont à leur disposition à la maison. Pour moi, avoir des trucs pour bricoler, pour peindre, pour coudre, pour dessiner est essentiel. On a donc des provisions de machins trucs répartis un peu partout dans la maison. Il y a beaucoup de matériel rangé dans l'ancien meuble d'une bibliothèque scolaire, sauvé des vidanges par un brave homme (le nôtre, bien entendu!). On a un garde-robe entier où il y a des perles, des boîtes, du carton, des toiles, de la gouache, des pinceaux, des stylos feutres, des cailloux, des coquillages.
Au sous-sol on a aussi des boîtes remplies de papiers de soie, de papier d'emballage (ça sert aussi à bricoler), de rubans (des neufs, des restes, morceaux récupérés -vive les 2e vies-). Et j'ai mes provisions de tissu (un meuble plein), de papier (une quantité indécente, j'vous jure), de peinture acrylique, de colles de toutes sortes (un panier rempli). Et ça c'est sans compter la laine, les autocollants, le matériel à scrapbooking, à estampes et embossage et à calygraphie. Tiens, une fraction de seconde, j'ai honte. Ah bon, c'est passé, déjà.
Probablement que la culpabilité ne dure pas parce que «c'est notre loisir», que ça nous permet de créer, d'inventer, de faire plaisir, de se découvrir, de mettre un peu de beauté ici, là et encore là. Bref, c'est pas là-dessus que je coupe si je dois me serrer la ceinture. J'aime mieux mettre des vêtements d'il y a 2 (3,4?) saisons et passer du bon temps à mettre ma créativité à pleins gaz. Un choix de vie. Je m'assume.
Un peu avant Noël, Miranda a fait de jolies peintures. J'adore le fait que mes cocottes profitent du matériel qu'elles ont à leur disposition à la maison. Pour moi, avoir des trucs pour bricoler, pour peindre, pour coudre, pour dessiner est essentiel. On a donc des provisions de machins trucs répartis un peu partout dans la maison. Il y a beaucoup de matériel rangé dans l'ancien meuble d'une bibliothèque scolaire, sauvé des vidanges par un brave homme (le nôtre, bien entendu!). On a un garde-robe entier où il y a des perles, des boîtes, du carton, des toiles, de la gouache, des pinceaux, des stylos feutres, des cailloux, des coquillages. 
Au sous-sol on a aussi des boîtes remplies de papiers de soie, de papier d'emballage (ça sert aussi à bricoler), de rubans (des neufs, des restes, morceaux récupérés -vive les 2e vies-). Et j'ai mes provisions de tissu (un meuble plein), de papier (une quantité indécente, j'vous jure), de peinture acrylique, de colles de toutes sortes (un panier rempli). Et ça c'est sans compter la laine, les autocollants, le matériel à scrapbooking, à estampes et embossage et à calygraphie. Tiens, une fraction de seconde, j'ai honte. Ah bon, c'est passé, déjà. 
Probablement que la culpabilité ne dure pas parce que «c'est notre loisir», que ça nous permet de créer, d'inventer, de faire plaisir, de se découvrir, de mettre un peu de beauté ici, là et encore là. Bref, c'est pas là-dessus que je coupe si je dois me serrer la ceinture. J'aime mieux mettre des vêtements d'il y a 2 (3,4?) saisons et passer du bon temps à mettre ma créativité à pleins gaz. Un choix de vie. Je m'assume.
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