Une chambre, c'est un refuge, son endroit à soi, surtout quand on ne la partage pas. Mes filles ont ce sentiment d'une place à soi très fort. C'est cool. Et si l'on est restreint par l'espace (les vieilles maisons de la classe moyenne ont des pièce pas mal petites, j'vous dis pas), l'imagination, elle, a toute la place nécessaire. Sur son lit (eh bien, oui, il était fait ce jour-là, yé!), on retrouve généralement toute une ménagerie, bien disposée, disciplinée, pas de chicane dans ma cabane. Depuis quelques semaines, les bibittes qui trônent sur son lit sont pas mal «vertes» (à part l'ours polaire, mais bon, vous me suivez...?) avec les hippopotames au coeur de toute la patente.
Les hippopotames sont source de souvenirs divers, mais le plus important est le nom que Miranda leur donnait lorsqu'elle était enfant. Elle a eu beau commencer parler à un très jeune âge elle modifiait parfois certains mots plus difficiles (hippopotame avant 2 ans, genre). Elle les appellait des petits potames. Trop mignon, hein? C'est resté... J'ai offert un «petit potame» à Eliane l'an dernier. La tradition (fort jeune, je vous l'accorde) se perpétue!
Les hippopotames sont source de souvenirs divers, mais le plus important est le nom que Miranda leur donnait lorsqu'elle était enfant. Elle a eu beau commencer parler à un très jeune âge elle modifiait parfois certains mots plus difficiles (hippopotame avant 2 ans, genre). Elle les appellait des petits potames. Trop mignon, hein? C'est resté... J'ai offert un «petit potame» à Eliane l'an dernier. La tradition (fort jeune, je vous l'accorde) se perpétue!
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