J'ai envahi la salle à dîner depuis quelques jours par mon bardas de couture. C'est que c'est l'été des courtepointes on dirait. Autant la première a été rapide (2 jours de coupe, 2 jours de couture) autant la 2e me prend du temps. Faut dire que je n'y travaille qu'une heure ou deux par jour, ça fait une différence de taille!
Lorsque je passe à côté de ce désordre, je n'ai pas de haut-le-coeur, je m'améliore. Autrefois, je n'arrivais pas à me laisser traîner du tout. Miss on-range-tout, genre. Maintenant, je suis capable de me dire que ce désordre est justifié, qu'il est un lieu de travail, de création, de plaisirs. Et donc, je vis parmi ce désordre (non permanent tout de même) et je ne culpabilise pas, je ne me sens pas une mauvaise mère qui donne le mauvais exemple à ses enfants, je n'ai pas l'impression que je me laisse aller. J'apprends à aimer le désordre, à l'analyser et à le trouver beau. Ouf, est-ce bien moi qui parle? :-)
Lorsque je passe à côté de ce désordre, je n'ai pas de haut-le-coeur, je m'améliore. Autrefois, je n'arrivais pas à me laisser traîner du tout. Miss on-range-tout, genre. Maintenant, je suis capable de me dire que ce désordre est justifié, qu'il est un lieu de travail, de création, de plaisirs. Et donc, je vis parmi ce désordre (non permanent tout de même) et je ne culpabilise pas, je ne me sens pas une mauvaise mère qui donne le mauvais exemple à ses enfants, je n'ai pas l'impression que je me laisse aller. J'apprends à aimer le désordre, à l'analyser et à le trouver beau. Ouf, est-ce bien moi qui parle? :-)
No comments:
Post a Comment