Ça y est, c'est fait. Fini le shopping pour le bal de fin de secondaire de ma grande fille Alizée. Après discussion, nous avions décidé d'y aller mollo sur les dépenses, c'est un rite de passage important, le bal, mais pas de là à se lancer dans de folles dépenses. On est plus dans un mood «épargne» ces temps-ci, une bonne chose considérant nos projets futurs. Et ce mood se répand même auprès des enfants, ce qui est vraiment chouette. Les filles savent gérer leur argent et la perspective d'économiser leur plaît. Fiou... J'ai eu tellement de difficulté à gérer mon argent à certains moments de ma vie, j'en ai fait une priorité dans l'éducation de mes filles et je vois que ça porte fruit, merveilleux...
Pour en revenir au kit de bal, une autre chose assez chouette: on a tout trouvé en moins d'une heure, sûrement un record! Première boutique, on trouve la robe (2 sur 5 lui allaient très bien, on a même eu à faire un choix) à prix très raisonnable et en sortant on trouve le sac à main (à 60% de rabais). Petit crochet pour les chaussures (on avait choisi une boutique où les chaussures sont déjà à petit prix), un grand foulard pour couvrir les épaules (celui-là on va définitivement le porter souvent par après) et de petits bijoux tout simples. Le tout pour moins que le coût moyen pour la robe uniquement chez plusieurs copines de ma cocotte. Bravo à nous deux!
À la fin de mon secondaire, le bal, c'était pas vraiment une grosse affaire, je ne suis même pas allée au mien et je ne le regrette pas. À la fin de mon cours universitaire, j'y suis allée par contre. J'étais la seule non accompagnée et la seule en pantalon (un palazzo, c'était très à la mode à ce moment).
En ce qui concerne Alizée, ce sera tout à fait différent: elle a passé 5 années dans une école de filles où leur «gang» est composée de 17 amies. Elle est impliquée dans plein de trucs variés, elle adore son école, elle pleurera certainement quand ce sera la fin. D'ici là, elle savoure chaque instant, elle participe, s'implique encore et encore, elle se crée des souvenirs impérissables. À l'ère des technologies (et étant elle-même fana du cinéma et de la photographie), elle a accumulé de longues heures de films, des centaines de photos pour se remémorer le plaisir, les amies, le bonheur d'être une adolescente. Chanceuse, va...
Pour en revenir au kit de bal, une autre chose assez chouette: on a tout trouvé en moins d'une heure, sûrement un record! Première boutique, on trouve la robe (2 sur 5 lui allaient très bien, on a même eu à faire un choix) à prix très raisonnable et en sortant on trouve le sac à main (à 60% de rabais). Petit crochet pour les chaussures (on avait choisi une boutique où les chaussures sont déjà à petit prix), un grand foulard pour couvrir les épaules (celui-là on va définitivement le porter souvent par après) et de petits bijoux tout simples. Le tout pour moins que le coût moyen pour la robe uniquement chez plusieurs copines de ma cocotte. Bravo à nous deux!
À la fin de mon secondaire, le bal, c'était pas vraiment une grosse affaire, je ne suis même pas allée au mien et je ne le regrette pas. À la fin de mon cours universitaire, j'y suis allée par contre. J'étais la seule non accompagnée et la seule en pantalon (un palazzo, c'était très à la mode à ce moment).
En ce qui concerne Alizée, ce sera tout à fait différent: elle a passé 5 années dans une école de filles où leur «gang» est composée de 17 amies. Elle est impliquée dans plein de trucs variés, elle adore son école, elle pleurera certainement quand ce sera la fin. D'ici là, elle savoure chaque instant, elle participe, s'implique encore et encore, elle se crée des souvenirs impérissables. À l'ère des technologies (et étant elle-même fana du cinéma et de la photographie), elle a accumulé de longues heures de films, des centaines de photos pour se remémorer le plaisir, les amies, le bonheur d'être une adolescente. Chanceuse, va...
No comments:
Post a Comment